Adrien & Alicia : one year in New Zealand

UBUD

Le 12/11/12, 20:37

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Como dije antes, Ubud es la ciudad cultural de Bali donde se instalan los artistas para montar sus talleres de pintura y escultura. La ciudad es agradable pero muy desarrollada, con tiendas por todos sitios, aunque menos agobiante que Kuta.
Una de las cosas típicas y curiosas que puedes visitar en pleno centro de Ubud es el Monkey forest, un parque donde viven miles de monos. Al principio hace gracia verlos, pero pueden volverse un poco agresivos y subirse encima de ti para que les des comida. Si vas a última hora de la tarde no tienes que pagar la entrada, así que esta muy bien.


On termine notre route avec ce taxi à Ubud, capitale culturelle de Bali. Donc on trouve dans cette ville quantité d'artistes locaux, magasins de vêtements, sculpteurs, peintres... C'est très différent de Kuta pour l'ambiance, beaucoup moins désagréable, mais ça fait quand même ville à touristes, avec des boutiques plus ou moins luxueuses à tous les coins de rues, qui ne ciblent clairement pas les locaux. Un truc sympa à voir c'est Monkey Forest : un parc en pleine ville dans lequel les singes sont rois !









Otro punto turístico es el mercado, pero ¡vaya mercado! Está curioso verlo, pero huele que echa para atrás, así que muchas cosas no compras allí Se marre . Y por último lo que más le gustó a Adri de todo el viaje, La Danza Balinesa, jeje (no quería ir a verlo Razz ) Se me metió en la cabeza que teníamos que ir a ver esta danza antes de irnos y Ubud era el sitio perfecto porque te lo ofertaban por todos lados. Al principio es bonito, distinto a lo que puedes ver por España, pero te terminas cansando rápido de los movimientos que hacen con los dedos, la boca siempre cerrada y los ojos como platos moviéndolos como si fueran muñecas.

Il y a aussi un marché à voir, enfin, marché... plutôt souk ! C'est grand, il y a de tout partout, c'est en sous sol par moments, et il y a une odeur... beurk ! Ça donne pas envie d'y rester des heures ! Mais c'est vrai que ça vaut le coup d'oeil. Et enfin, contraint et forcé, j'ai dû assister à un « show » de danse balinaise. Alicia s'était mis en tête qu'il fallait absolument que l'on voit ça. Moi j'étais pas spécialement contre mais je trouvais quand même le prix exagéré pour ça vu nos finances. On y est quand même allé, c'est vrai que c'est sympa... pendant 5 minutes. Mais 2 heures, c'est long quand même Mmmh !













A&A.

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Posté par Adrien Alicia

DE RUTA CON EL TAXI - PETIT TOUR DE TAXI

Le 11/11/12, 20:26

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Aunque uno de los medios de transporte que más se usan en Bali es alquilar una scooter, nosotros decidimos de negociar el precio con un “taxista”, que en realidad son gente que usa sus coches particulares y se pasa todo el día contigo llevándote a todos los lugares más turísticos por cuatro duros.

Pour se déplacer à Bali, on a le choix entre le scooter ou les taxis (il y a aussi un genre de transport en communs, mais on ne s'y est pas risqué...). On a trouvé la formule des « taxis » la plus intéressante : tu négocies avec un mec, genre je veux aller là, puis là, puis visiter ça... il te donne un prix et si c'est OK il t'embarque dans sa voiture et t'accompagne toute la journée en t'attendant sur place pendant que tu visites. Du coup, programme à la carte et pas de perte de temps entre les visites !

La primera parada la hicimos en el templo de Besakih, un templo hindú con siete niveles ¡gigantesco! Nos habían prevenido que en el pueblo de Besakih la gente era un poco pesada con intentar venderte de todo: que si Sarums (el pareo que te tienes que poner alrededor de la cintura para cubrirte las piernas), que si excursiones guiadas... ¡Pero no sabíamos hasta que punto eran cansinos! Al final, incluso si le dijimos mil veces que no, hubo un hombre que se empeñó en acompañarnos durante toda la visita diciendo que era un guardián del templo, y que como era domingo y día sagrado, que no podíamos visitarlo solos. La visita estuvo bien, pero me gustan más los templos budistas, los hindúes son un poco oscuros y no son tan llamativos Neutre .

Premier arrêt au temple de Besakih : gigantesque site hindou sur 7 niveaux. Encore une fois, on ne fait pas 3 pas sans se faire solliciter pour acheter des sarums, une visite guidée, beignets, chouchous, crédit à la consommation, assurance vie... le site est joli, mais c'est vrai que les temples hindous ne sont pas les plus spectaculaires. Ça reste très sombre, pas aussi riche que des temples bouddhistes par exemple.











De allí partimos rumbo a Tegallalang, donde hay unas arroceras en terraza preciosísimas, ¡y eso sí! El hecho de que fuera tan tan turístico hace que pierda un poco su encanto porque nuevamente tienes a la gente local siguiéndote para pedirte dinero. Pero fuera de todo eso, las terrazas eran de película.

Ensuite, Tegallalang et ses magnifiques rizières en terrasse ! Superbe effectivement, mais pris d’assaut par les touristes ça perd un peu de son charme. Mais les vues types carte postale sont immanquables.







Y para terminar nuestra ruta antes de llegar a Ubud, la ciudad cultural de Bali, hicimos una paradita entre el Monte Agung y Monte Batur, que después de ver Lombok no nos ocasionó ninguna impresión la verdad, y en un campo de plantación de frutas exóticas y de recolecta del Kopi Luwak. Esto es un café creado a partir de los excrementos de un animal parecido a una mofeta llamado Luwak, que se come los granos del café y luego es el grano con las heces alrededor lo que se considera como un manjar en el mundo del café, ¡una cosa muy extraña! Lo probamos, pero tampoco nos enamoramos del sabor, jeje.

Ensuite, sur la route d'Ubud on a fait une pause au Mont Agung et au Mont Batur. Ça ne nous a pas laissé une impression terrible, surtour après le Rinjani, mais c'est quand même à voir. On s'est aussi arrêté dans une propriété ou ils conservent de nombreuses espèces végétales typiques de la région et où l'on peut déguster le café le plus improbable du monde : le Kopi Luwak. Le Luwak est un petit animal, je ne sais pas trop le décrire, genre un petit rongeur, qui mange les grains de café et une fois traité par leur système digestif, les graines sont récupérées pour faire selon eux l'un des tous meilleurs cafés du monde ! Ou comment te faire passer de la merde pour du caviar ! On a joué le jeu et on a goûté ce café pour le moins surprenant... une tasse suffit !







A&A.

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Posté par Adrien Alicia

TIRTA GGANGA

Le 10/11/12, 13:48

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Seguimos nuestra ruta por Bali hasta llegar a Tirta gganga, un pueblecito muy pequeño conocido por su Water Palace y sus campos de arroz alrededor del pueblo. En nuestros planes teníamos previsto simplemente hacer una caminata entre los campos de arroz y darnos un baño en el palacio, pero terminamos caminando durante 2 horas para encontrar el lugar donde se celebraba una cremación, uno de los rituales más importantes y caros para las familias de Bali.

Nouvelle escale balinaise, Tirta gganga. Petit village connu pour son Water Palace et ses nombreuses rizières. On était partis pour faire juste une petite balade au milieu des rizières justement, mais il se trouve qu'au même moment il y avait une crémation. C'est la cérémonie la plus importante et donc la plus spectaculaire, on ne peut pas rater ça. Donc après avoir marché pendant 2 heures au milieu des rizières, on loue un scooter et on se dirige vers la crémation.



















Cuando una persona muere la incineran y la incineración en sí es una fiesta que dura todo el día, con músicos, comida y bendiciones con flores por todos lados. Es muy interesante de ver, pero se hace un poco largo 8-/ , sobre todo cuando ves que el final de la celebración es tirar una torre de madera con las cenizas del difunto al “río” más cercano del pueblo, en este caso un riachuelo por el que no pasaba ni agua. ¡Que impresión que nos dio! Allí que dejaron la torre, rota por todos lados por haberla tirado desde el puente, acumulada con las torres de incineraciones anteriores, muy raro, jeje.

Quand une personne décède, la famille organise une crémation (ou parfois ils attendent plusieurs morts dans la famille pour regrouper car ça coûte très cher!). Ca dure sur toute la journée : musique, nourriture, fleurs... ils brûlent donc le corps (nous on est arrivé juste après) et plus il y a de monde, plus ils sont heureux donc les touristes sont les bienvenus ! Seul impératif, respecter la tenue (porter un sarum). A la fin de la cérémonie, ils balancent une tour décorée dans le point d'eau le plus proche. Ici c'est un petit ruisseau, donc tout le monde se retrouve autour d'un pont, ils jettent la tour qui se fracasse en bas au milieu des restes des crémations antérieures, et puis c'est fini... bizarre quand même.











A&A.

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Posté par Adrien Alicia

TULAMBEN

Le 08/11/12, 13:31

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De regreso a Bali nos hicimos una paradita en Tulamben, un pueblo costero cuyo único interés es bucear o hacer snorkel para ver el barco hundido USA liberty, un barco americano que se hundió a causa de un fuerte temporal en el año 1942. Es impresionante porque lo ves a 3 m debajo de tus pies, y aunque está bastante corroído por el tiempo que lleva hundido, puedes diferenciar perfectamente los distintos compartimentos del barco, además de ver peces gigantes nadando por allí.

Retour sur l'île de Bali après une nouvelle traversée en speed boat. On s'arrête cette fois à Tulamben, bourgade réputée pour son spot de plongée au dessus d'un navire américain qui a coulé en 1942 suite à une grosse tempête. En plongée ou juste en snorkeling comme ce fut le cas pour nous, on peut donc admirer cette épave en plus des nombreux poissons qui gravitent autour.





En el hotel conocimos a una pareja de alemanes aficionados al buceo súper majetes, los cuales nos encontramos más adelante en otra ciudad de Bali. ¡Este mundo es muy pequeño!

Pour arriver à l'hôtel, on a sympathisé avec un couple d'allemands avec qui on a partagé le taxi et négocié les chambres. Eux sont de gros fondus de plongée, avec qui on a passé pas mal de temps sur Tulamben et que l'on a même recroisés plus tard durant notre séjour au détour d'une rue d'Ubud... le monde est petit, alors Bali je ne vous dit pas ! Pendant qu'ils plongent, on opte plutôt pour le farniente. Cool







A&A.

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Posté par Adrien Alicia

LOMBOK

Le 05/11/12, 13:38

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Si algo que no habíamos previsto pero que al final nos lanzamos a hacer por varios comentarios de amigos que lo aconsejaban como la mejor marcha de senderismo que puedes hacer, era subir a la cima del volcán Rinjani.
Lombok es una isla de Indonesia situada hacia el este de Bali, cuya “mayor atracción” es subir caminando al volcán. La marcha es de 3 días y dos noches, por lo que necesitas contratar un guía que te incluye también una persona que transporta la comida y las tiendas de campaña.


Lombok, on n'y avait pas pensé à la base. C'est une île à l'Est de Bali, beaucoup moins touristique. Mais on a fait quelques rencontres en Nouvelle-Zélande et cette destination est revenue avec insistance avec un immanquable : l'ascension du volcan Rinjani. C'est clairement le gros intérêt de l'île : une ascension qui s'effectue sur 3 jours, 2 nuits et pour laquelle il est obligatoire de prendre un guide (plus quelques porteurs qui transportent la bouffe et le matos).

Nos quisimos fiar de lo que nos decía la guía Lonely Planet, la cual aconsejaba “Perama” como buena agencia para contratar excursiones. Pues allí que fuimos, estando en Nusa Lembongan vimos que había una oficinilla con un hombre muy simpático que nos vendió el paquete, eso sí, caro de narices nos pareció. Y al precio es a lo que voy, si decides hacer esta ruta lo mejor que puedes hacer es llegar a la misma isla y preguntar en todas las agencias y regatear, no como nosotros que nos quedamos con el precio que nos dieron en Nusa Lembongan. La diferencia era que pagamos el doble Choqu, ¡qué bajón! Luego pronto nos dimos cuenta de que lo que habíamos pagado era una ruta privada, con nuestro propio guía, un WC portátil y comida de más, pero bueno, nos habría gustado más haber ido con un grupo majete más que los dos solos, aunque pudimos conocer a los grupos que subían a la vez que nosotros Smile .

Pour réserver l'excursion, on a fait les touristes moyens : on s'est contenté de se renseigner auprès d'une agence conseillée par le Lonely Planet, et on a réservé alors qu'on était sur Nusa Lembongan. On a quand même trouvé ça cher, et effectivement, on a juste payé le double du tarif normal Mmmh ! 2 millions chacun alors qu'en se renseignant en arrivant à Lombok, on trouve ça pour 1 petit million par tête Smile. En fait le prix était "justifié" car notre formule, c'était la version première classe de l'ascension : 1 guide pour nous 2, des porteurs aux talents culinaires indéniables, chiotes privées creusées sur place, le grand luxe Cool ! On s'en serait bien passé, les autres montaient en groupe, avec un guide pour le groupe et un peu moins de confort, mais au moins ça fait faire des rencontres. Heureusement on est monté en même temps que certains groupes, ce qui nous permettait d'échanger nos impressions après les longues heures de marche. Et notre guide était au top du top !

La noche antes de empezar la caminata la pasamos en Senggigi, una ciudad que estaba a 3 horas del comienzo del volcán. A las 5 de la mañana vino a por nosotros un taxista que contrató la agencia que ¡Madre mía! Por poco nos mata ese hombre. Llevaba a su hija pequeña de unos 4 años durmiendo en el maletero y el pobre se quedaba frito al volante hasta que se tuvo que parar en la cuneta a echarse una siesta Etonn . Llegamos al pueblo desde donde íbamos a empezar y allí estaba Lim, nuestro guía, un papá de familia que se subía el volcán dos veces por semana, y los porters, dos hombres que llevaban 20 kg de peso apoyados en el hombro con una caña de bambú y dos cestas Choqu . Estos hombres eran impresionantes, con todo el peso que llevaban se hacían la caminata, que no era para nada fácil, en chanclas o descalzos. Además de eso ellos estaban ahí para hacernos la vida lo mas fácil posible, cocinando, instalando el servicio allí donde parábamos, montando nuestra tienda...todo un lujo, pero que penita por otro lado, es el único trabajo que pueden conseguir y es durísimo Triste .

On a passé la nuit avant de partir à Senggigi. Pas le temps de profiter de cette ville (sans grand intérêt d'ailleurs) : un taxi vient nous prendre à 5h du mat pour rejoindre le début de l'excursion. Et là, premières frayeurs ! On a cru mourir 20 fois ! Le chauffeur n'avait vraisemblablement pas fini sa nuit, et conduisait comme un branque. Sa fille de 4 ans dormait bien paisiblement dans le coffre, mais nous on n'était pas près de fermer l'oeil... contrairement à notre chauffeur qui a piqué du nez à plusieurs reprises... obligé de lui suggérer de faire une pause et une mini sieste. On arrive finalement, soulagés, et on rencontre Muslim (Lim pour les intimes), notre guide. On rencontre également nos porteurs, et là respect. Les mecs se farcissent l'ascension 2 fois par semaine, avec 20 à 30 kg de matos chargé sur l'épaule de part et d'autre d'une perche en banbou Surpris ! Niveau chaussures de marche, c'est soit en tongs, soit pieds nus ! Allucinant. Et en plus ils doivent arriver avec suffisamment d'avance pour monter le camp et commencer à faire à manger. Des machines...







La caminata en si es bastante dura, pero merece realmente la pena, eso sí, una vez y no más, jeje. Si no tienes nada de experiencia caminando puede ser bastante duro por el calor, las cuestas tan empinadas, tanto para bajar como para subir, atravesando zonas en las que prácticamente tienes que escalar Choqu .

La rando est costaud, ça grimpe sec, ça glisse, parfois il faut escalader, le tout avec les sacs sur le dos et un soleil de plomb... débutants s'abstenir. Mais le résultat est là, il faut absolument le faire !









El primer día no es muy complicado, todo es subida hasta llegar a unos 2600m pero vas parando y se hace ameno. Al llegar a la zona de acampada donde crees que todavía no vas a ver las vistas tan esperadas por ser el primer día, ¡Pim! ¡Ahí estaba! El lago dentro del volcán de donde sale otro mini volcán con su cráter aún humeando desde la última erupción en 2010. Son unas vistas impresionantes, de las cosas más bonitas que hemos visto en todo el año hasta el momento LOL . Si sólo quieres disfrutar de estas vistas, también tienes la opción de bajar por donde vinimos al día siguiente, pero la gracia del viaje es poder bajar hasta el lago y luego subir a la cima del volcán.

Premier jour de marche, c'est simple, il faut monter. Pas la partie la plus dure, ça monte régulièrement, en faisant des pauses régulières, ça se fait bien. On arrive à 2600m et surprise : on a déjà une vue magnifique ! On est au bord du cratère (gigantesque...) au fond duquel on trouve un magnifique lac et au milieu du lac, un autre volcan encore fumant de la dernière éruption de 2010. Pour faire simple, c'est sûrement la plus belle vue que l'on a eu depuis le début de l'année, et pourtant on a été servis !















Pues eso fue lo que hicimos, después de dormir la primera noche en las tiendas de campaña empezamos a bajar por un camino súper empinado, donde había que colgarse literalmente para poder apoyar un pie en cada roca, ¡madre mía! Y todo esto los porters lo hacían descalzos Etonn . Aunque muy cansados, llegamos al lago del volcán, donde hay miles de peces y gente local que sube hasta allí par pescarlos Choqu , ¡vaya palizón también! Pero lo mejor de esta parada fue darse un bañito en las hot-water sources, unas fuentes de aguas geotérmicas que estaban ardiendo. Los colores eran impresionantes, con el agua amarillenta por la cantidad de azufre. El guía nos comentó que la gente venia de todas las puntas del país para bañarse en estas fuentes de “agua curativa” Razz .

Première nuit sur le campement où se croisent différents groupes (certains montent comme nous, d'autres sont sur le retour). En échangeant avec ceux qui descendent, ils nous disent qu'ils n'ont pas eu de chance car une fois tout en haut du volcan, les nuages étaient de la partie et ils n'ont rien vu... On attaque le 2ème jour de marche qui consiste à descendre au bord du lac puis remonter vers le 2ème camp avant d'aborder l'ultime ascension le 3ème jour pour atteindre le point culminant du volcan. Le début est très technique, ça descend très raide vers le lac, on en chie un peu, mais on allucine en voyant les porteurs qui gallopent entre les roches avec leur chargement, pieds nus, là ou toi tu réfléchis 30 secondes avant de faire un pas de plus Embarras ... On arrive au bord du lac, et surprise, il y a un bon nombre de pêcheurs locaux ! Ils viennent jusqu'ici car le lac regorge de poissons ! Il faut se le gagner. Un peu après le lac, on trouve d'autres locaux qui eux ne viennent pas pour pêcher, mais pour se soigner : il y a une source d'eau chaude qui a selon eux des vertus curatives. On n'en doute pas une seconde et on profite surtout de ce moment pour se prendre un bain chaud bien relaxant, notre corps nous dit merci Cool ! Quel pied !











El baño nos sentó muy bien, pero todavía nos quedaban 3 horas de marcha hasta llegar al siguiente punto donde íbamos a pasar la noche antes de subir a la cima del volcán. Cuando llegamos al campamento empezó a llover a mares, así que desde las tres de la tarde estuvimos todos metidos en la tienda de campaña, hasta las 2 de la mañana, hora en la que había que levantarse para poder llegar a la cima y ver el amanecer.

Après cette baignade réparatrice, on repart pour 3 heures de marche en montée direction le camp. Arrivés en haut (2900m), pas le temps de faire grand chose, on s'est pris la pluie donc tout le monde à l'abri sous sa tente pour bien se reposer sachant qu'il faut se lever à 2h du mat pour attaquer la dernière partie...

Esto fue lo más duro de toda la caminata. Con las frontales en la cabeza, íbamos avanzando a paso lento, con el ritmo que nos iba marcando el guía. Yo tenía la impresión de que íbamos súper despacio, pero al final resultó que adelantamos a todos los grupos que habían empezado a un ritmo rápido y que a la mitad del volcán estaban hechos polvo LOL . Como era de noche no se veía la cima, por lo que se te hace eterno y parece que no avanzas, porque paso que das, paso que te escurres hacia abajo por la tierra volcánica que te hace que te hundas.

2h, réveil difficile et un objectif simple : on est à 2900m, il faut arriver au sommet (3726m) avant le lever du soleil ! Tous les groupes sont partis avant nous, mais bon, on fait confiance à Lim pour le timing. C'est une montée super raide et en plus le sol est complètement friable : à chaque pas on doit avancer de 30cm... bien sûr il fait nuit donc on n'y voit pas grand chose à la lueur de nos frontales. Lim nous fait prendre un rythme tranquille, je rale un peu en voyant les lumières des autres groupes s'éloigner dans la nuit... ils sont partis vite, mais un peu plus tard, on se surprend en doublant à peu près tout le monde ! Ils sont tous arrêtés, complètement carbos ! Ça motive de voir qu'on n'est pas si mauvais et pour moi c'est clair : il faut qu'on arrive les premiers en haut Twisted Evil ! On continue donc cette montée interminable, on dépose même Lim avant l'arrivée, et on est finalement en haut juste après le premier groupe qui est parti 1h avant nous Se marre .









Pero al final, allí que llegamos, ¡qué frío! Y aún había que esperar a que saliera el sol. Pero ¡que vistas! 3726m de altitud. Lo más impresionante era la sombra del volcán, una pirámide perfecta que parecía de mentira. Después de todo el esfuerzo que habíamos hecho se te quitan todos los males cuando ves el amanecer y disfrutas de ese espectáculo, realmente es una cosa que si puedes hay que hacer.

Grosse satisfaction d'être arrivés, mais vu qu'il fait toujours nuit, on ne profite pas de grand chose d'autre, surtout qu'il fait un froid !!!!! 3726 m d'altitude, même en Indonésie, à 5h du mat, ça caille ! On grignote quelques trucs pour reprendre des forces et attendre le fabuleux spectacle du lever de soleil : d'abord la vallée qui s'illumine devant nous, puis en se retournant on aperçoit le cratère avec le lac et le petit volcan au milieu. Le plus impressionnant c'est que le sommet sur lequel nous sommes voit son ombre projetée telle une pyramide de l'autre côté du cratère. Magique.









La bajada fue mucho mas fácil porque te dejabas caer prácticamente, dándote cuenta de todo lo que habíamos subido Etonn , que vaya tela. Y ¿qué nos encontramos al llegar al campamento? ¡Una invasión de monos! Estaban por todos lados. Que por lo visto van todos los días a la misma hora porque saben que va a haber comida por los alrededores después de desayunar. ¡ Que graciosos! Cómo se quitaban las pulgas los unos a los otros. Estuvimos haciéndonos fotos y dándoles de comer, aunque no hay que fiarse ni un pelo, que se les va la olla y se ponen agresivos.

La descente est rapide, tout en dérapage, mais avec le jour qui s'est levé, c'est plus simple. On prend au passage conscience de la longueur de la montée que l'on a effectué... Et arrivés au camp, surprise ! On est envahis par les singes ! Il y en a partout ! Razz









Al haber subido hasta la cima teníamos la impresión de que el día estaba ya casi terminado, pero ¡de eso nada! El día acababa de empezar. Nos quedaba bajar todo lo que habíamos subido desde hacía dos días, ¡ Dioooooooosssssss! ¡Que horror! Yo ya creía que perdía las uñas de los pies. Un bajada súper empinada durante 6 horas, que no se terminaba nunca. Si subir a la cima fue duro pues esto más. Se hizo pesado porque sabes que ya no vas a ver nada espectacular, pero en conclusión, esta marcha fue impresionante en todos los sentidos. Si vas a Bali, hay que pasar unos días en Lombok.

On aurait pu penser que la journée était terminée, mais non, il faut maintenant descendre tout en bas ! Et c'est long et pénible... 6 heures à descendre, parfois en courant car c'est plus douloureux de se freiner tout le temps. Surtout que mentalement on sait qu'il n'y a rien d'autre à découvrir, dur de se motiver. Mais au final, cette ascension du Rinjani restera comme un très gros souvenir de l'année, certainement l'un des plus beaux paysages que l'on a vu.







A&A.

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Posté par Adrien Alicia

NUSA LEMBONGAN

Le 02/11/12, 15:53

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Después de pasar dos días en Kuta nos dirigimos a una islita muy pequeña llamada Nusa Lembongan. Para ir tuvimos que coger un barquito en el que te empapabas entero con tanto bote que daba, ¡Un mareo!, no estoy yo hecha para montar en barco Embarras , jeje.

On fuit Kuta pour rejoindre une mini île à côté de Bali : Nusa Lembongan. On la rejoint en speedboat, petits bateaux rapides qui rebondissent sur les vagnes. Le trajet n'est pas très long, mais ça secoue ! Alicia était encore à la limite du vomito...

Nada más poner un pie en la playa ya había un grupo de hombres ofreciéndonos transporte, hoteles, lo cual ignoramos porque lo mejor es caminar e ir preguntando los precios. Pero hubo uno de los hombres que estaba completamente trompa que nos estuvo siguiendo media hora por lo menos, hasta que ya me puse un poco nerviosa y le mandé a paseo Mad .

A peine les pieds posés sur la plage, on est assaillis par une dizaine de locaux qui proposent l'hébergement et le reste. Ah le plaisir de se sentir considéré comme un morceau de viande fraiche lâché dans la cage aux lions ! Enfin, après 1 petite heure de marche le long de la plage et de négociations en tout genre, on trouve enfin notre logement pour les quelques jours que l'on va passer ici.







Nusa Lembongan es una isla muy pequeñita que sobrevive básicamente del turismo y de la venta de algas para hacer cosméticos y para alimentación sobre todo en China. Era impresionante la cantidad de lonas con algas de distintos colores que había secándose en la playa. El olor era bastante fuerte, pero lo peor eran las nubes de moscas que había encima de las algas. La mayoría de la población se dedica a su recogida, levantándose a las 4 de la mañana cuando empieza la marea baja aproximadamente, lo cual es impresionante porque ves toda una pradera de algas y la gente cargada con cestas para llevarlas hacia la playa.

Les sources de revenus de l'île sont le tourisme bien sûr, mais plus surprenant, la collecte d'une algue verte très prisée en asie, pour l'alimentation ou pour la confection de cosmétiques. L'odeur qui se dégage de ces étals d'algues qui sèchent partout le long de la plage n'est pas des plus agréable, mais c'est intéressant de voir le travail que fournissent les locaux du petit matin jusqu'au soir pour collecter, trier, sécher et expédier leur or vert !







Es un trabajo súper duro, tanto por el calor, como por el esfuerzo y el empeño que ponen todos los días de la semana para recoger lo máximo que pueden. Un paisano nos comentó que por cada kilo de algas les pagaban unas 400 Rupias, lo que vienen siendo hoy en día 4 euros, que para ellos no está tan mal. Lo gracioso es que con cada kilo las empresas farmacéuticas hacen una fortuna con la cantidad de cremas que pueden vender, una penita Triste .

Quand on voit la difficulté du travail, les quelques rupies qu'ils gagnent péniblement et le prix à la sortie de la chaîne d'un mini pot de crème pour le visage... une belle illustration de la façon de s'enrichir sur le dos des plus pauvres. On repassera pour la morale à la fin de cette histoire.











La mejor manera de visitar la isla es alquilándose una moto por muy poco dinero. Preguntamos, ¿y los cascos?... ¡Ah no, aquí no necesitan!... Nos dijeron Choqu . Pues ale, vamos de paseo. Atravesamos la isla por el interior para parar en los poblados y ver a la gente trabajando separando los distintos tipos de algas. La gente parece muy amable, pero se ve que ya están acostumbrándose al turismo y en cuanto te descuidas se te cruzan los niños delante de la moto para que frenes y les des dinero, y claro ¿cómo no les das una monedilla? También ponen puestos de pulseras y collares en el camino, donde te paras a comprar por ayudarles un poco, y al final te vas con más pulseras de las que querías por la excusa que te ponen de que no tienen cambio Wink . Otro negocio que hacen, pero eso ya es entre ellos, son las peleas de gallos, ¡Hay gallos en jaulas por todas partes! No vimos ninguna pelea, y mejor, porque no podría yo ver eso Crying or Very sad .

Le meilleur moyen de visiter cette mini île c'est de louer un scooter. Pour ce qui est de la sécurité routière, pas de soucis : pas de permis nécessaire et pas de casques disponibles Razz . En s'enfonçant un peu sur les chemins qui parcourent l'île, on continue de croiser des gens qui travaillent les algues, mais même au milieu de nulle part, on voit que le tourisme reste une opportunité énorme pour eux de gagner leur vie : stands au bord de la route pour acheter des « bijoux », enfants qui t'arrêtent en bloquant le passage : ils te chantent une chanson (super mignon!) puis te tendent la main et de demandent des sous (beaucoup moins mignon...). Ça fait partie du jeu ! Une autre coutume locale, c'est le combat de coqs, on n'a pas pu assister à un combat, mais c'est vrai qu'ils élèvent les coqs un peu partout et les préparent au combat...











Una cosa muy curiosa que vimos cuando nos paramos a ver un templo (en el cual habia esvásticas por todos lados, lo que nos dejó un poco locos Choqu hasta que nos dijeron que era la cruz hindú, ¡Uf!) fue una casa subterránea. El dueño nos explicó que su padre la había construido a basa de pico y pala por perder una apuesta, Etonn , un loco total, jaja, pero en la casa se estaba muy bien al fresco :p.

On a aussi fait une visite improbable sur l'île : une maison souterraine. Entièrement creusée par le père du guide (c'est du moins ce qu'il nous a dit!) pour une sombre histoire de pari perdu ! En tout cas il a le mérite d'avoir construit la maison dans laquelle la température est la plus fraiche de l'île Cool . Tout au long de la route, on a aperçu également de nombreux temples. Et on a été choqué par la présence systématique de croix gammées ... on a eu l'explication plus tard que c'était en fait un symbole hindou Se marre ! Ben fallait le dire de suite, on ne se serait pas inquiétés comme ça !







Aparte de visitar los pueblos y conocer un poco mejor la cultura de la gente de la isla, Nusa Lembongan es conocida para surfear, bucear y hacer snorkel. Nosotros nos decantamos por el snorkel y cogimos un barquito de madera muy majo que nos llevo hasta el mar adentro donde había 100.000 peces de colores. El agua estaba súper clarita, pero no puedes estar más de una hora allí buceando porque te achicharras vivo con el sol que hace, Smile .

Notre ballade en scooter nous a permis de dénicher quelques plages bien sympas et pour les amateurs, de superbes spots de surf ! On a aussi fait une pause snorkeling car le coin est très fourni en petits poissons multicolores. On a donc loué une barque avec le pêcheur qui t'emmène un peu au large. Après avoir lancé quelques morceaux de pain dans l'eau, tu te retrouves très vite entourré de milliers de poissons ! Magnifique, mais on n'y reste pas longtemps quand même : le soleil tape super fort et les poissons ne font pas toujours la différence entre ta peau et le pain...







En la isla de al lado, Nusa Ceningan, a la cual puedes llegar atravesando un puente de madera con la moto, hay una calitas muy chulas donde te puedes sentar a comer y a ver a los surfistas pasándoselo pipa con las olazas que había, ¡qué envidia! Roulement des yeux

En traversant un mini pont, on passe sur l'île voisine, Nusa Ceningan, sur laquelle on peux prendre un peu de hauteur et apprécier une vue panoramique de l'archipel. On y a aussi trouvé une petite plage sur laquelle on s'est fait une petite bouffe en appréciant le spectacle offert par les surfeurs 15 mètres plus loin. On était presque seuls, au calme, un petit plouf quand il commençait à faire trop chaud... quel bonheur Cool !







Tres días en la isla te da tiempo a recorrértela 7 veces si quieres, jeje. Nosotros nos vamos a Lombok, la isla de al lado de Bali. Nos esperan 3 días de marcha para subir a lo alto del Rinjani, Se marre.

Fin de notre petit passage sur Nusa Lembongan, ça restera un des bons moments de ce séjour à Bali. Maintenant un nouveau tour en fast boat pour rejoindre l'île de Lombok. Voisine de Bali, sa culture à l'air d'être tout de même très différente, notamment pour la religion : les musulmans remplacent les hindous. Notre objectif sur l'île s'annonce sportif : l’ascension sur 3 jours du volcan Rinjani. Ça faisait longtemps qu'on n'avait pas fait de randonnée Razz .

A&A.

Voir les photos : Indonésie - Nusa Lembongan ]

Posté par Adrien Alicia

Kuta

Le 31/10/12, 15:19

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Sorpresa en el aeropuerto – Surprise à l'aéroport

Nos despedimos de Lucy, Pito y Montse súper emocionados por irnos a Bali, hacia el calorcito del verano que no encontramos en Sydney, ya que hacía frasquete. La compañía con la que volábamos a Bali (Jetstar) no era la misma con la que volábamos después de Bali a Melbourne, por lo que nos pidieron ensenar nuestro billete de salida de Bali, por lo visto obligatorio. No pasa nada, lo tenemos en el ordenador. La gracia vino cuando la mujer del mostrador nos dijo: Este vuelo ya ha sido, fue el 14 de Octubre... ¿QUEEEEEE? ¡Nos habíamos confundido de mes! Choqu . En vez de volar hacia Melbourne el 14 de Noviembre en el billete ponía 14 de Octubre, que ya había pasado claro está. Nos dijo que sin billete de vuelta no podíamos registrar las maletas y que el registro se terminaba en hora y media.

On quitte Lucy, Montse et Pito tout excités à l'idée de changer à nouveau de continent et de découvrir Bali ! Sydney – Bali puis dans 2 semaines, Bali – Melbourne pour des retrouvailles avec les Wallabies. L'aller et le retour s'effectuant avec des compagnies différentes, on nous demande à l'enregistrement de fournir la preuve que l'on va bien quitter Bali après 2 semaines de vacance. Pas de soucis, on sort l'ordi (vu qu'on avait pas pensé à imprimer les billets retour Mmmh ...) et on montre fièrement notre billet retour à l'écran. La femme en face de nous n'a pas l'air convaincue et on comprend mieux pourquoi quand elle nous annonce « il y a un problème car ces billets sont datés du 14 octobre ». Et effectivement, vu qu'on est le 30 octobre, on a un GROS problème !!!! 14 octobre au lieu de novembre, oh la boulette... Et bien sûr, impossible de partir à Bali si on n'a pas de billet retour. Le défi est donc simple : on a 1h30 avant la fin de l'embarquement pour trouver des billets retour sinon, on perd les billets aller/retour de Bali et on doit passer 2 semaines à survivre en Australie, le pays où la vie est plus chère !

¡Buf! No me he puesto tan nerviosa como este día en mucho tiempo. Corriendo fuimos a un punto para captar Internet, buscar las líneas más baratas y comprar los billetes, otra vez. Pero ¿cuál fue nuestra sorpresa? Que cuando casi íbamos a validar la compra nos dimos cuenta que la misma página lo cambiaba automáticamente al 14 de Octubre!!! Lo cual era imposible porque ese día ya había pasado. Embarras Corre que te corre a buscar el mostrador de Virgin Australia y explicarles lo que pasaba, que hicieran algo porque al final íbamos a perder el avión!!! Como siempre, te dan un numero de teléfono para que llames tu y te lo soluciones tu solito, pero visto que era un contestador automático y que estábamos de los nervios, volvimos al mostrador para que lo solucionaran ellos. ¿Cuál fue la solución? Que tuvimos que pagarnos dos billetes enteritos, sin reembolsarnos los anteriores ya que consideraban que era culpa nuestra por no haber chequeado antes de validar, ¡Que cabrones!

Je vous fait pas de dessin sur le niveau de stress atteint à ce moment là par Alicia, tous les voyants étaient au rouge... J'ai donc 1h30 pour essayer de limiter la casse et pas pourrir les vacances ou trouer le porte monnaie. En essayant de rester calme, on se connecte à internet pour voir si on peut échanger nos billets ou en payer de nouveaux. Echange impossible, ça aurait été trop beau... tant pis, le porte monnaie va prendre un pet... On refait la commande pour un billet retour au 14 novembre, on valide les étapes, et là surprise, au moment de valider on s'aperçoit que la date est à nouveau passée au 14 octobre Evil or Very Mad  !!! Je ne sais pas par quel putin de bug informatique ça peut s'expliquer, mais sur le coup on n'a pas le temps d'analyser tout ça. On reprend nos bagages et on cours jusqu'à un comptoir Virgin Australia, pour leur expliquer notre problème. Ils nous donnent juste le numéro d'une hotline et nous montre des cabines téléphoniques un peu plus loin... J'appelle, j'entends absolument rien car il y a un max de bruit autour, pas la peine d'insister, on retourne au guichet : appelez pour nous sinon on perd notre avion ! Et là une réponse que je n'attendais pas : « mais on n'a pas de téléphone... ». Oh les cons. On insiste lourdement jusqu'à ce qu'une femme envoie sa collègue chercher un téléphone pour appeler... 15 minutes sont passées avant que la bonne femme revienne avec un téléphone, ils appellent, il nous reste 10 minutes avant que l'enregistrement ne soit fermé... Quelques échanges téléphoniques plus tard, on a enfin racheté nos billets retour, 700€ pour la déconne, et on court à l'enregistrement avec notre preuve ! On est bien sûr les derniers à s'enregistrer sur le vol... Embarras

Así que el viaje a Bali no empezó con muy buen pie, con 700 euros menos, con los cuales contábamos para pagarnos la estancia de 2 semanas allí... ¡Un bajón! Adri se empeñó que era culpa suya y que el iba a pagar ese dinero, pero la culpa en realidad fue de estos mamones de Virgin Australia.

Un dernier sprint avec les bagages sur le dos pour aller à l'embarquement (à l'autre bout de l'a bien sûr), et on est fin prêts à s'asseoir dans l'avion et essayer de faire retomber la pression... C'est pas le départ idéal pour nos vacances à Bali, mais tant bien que mal on va pouvoir découvrir ce coin du globe !

Llegada a Kuta – Arrivée à Kuta

Gracias a Florian, un amigo que ya había ido a Bali, sabíamos que Kuta no era la ciudad de en sueño para pasar las vacaciones, y cierto es. ¡Es un agobio de ciudad! Estas semi obligado a pasar una noche allí porque es la ciudad mas cercana del aeropuerto, pero si puedes evitarlo es mejor. Motos por todos lados, australianos súper jóvenes que van allí de fiesta y van súper trompas por la calle, gente agobiándote y siguiéndote para que les compres setas alucinógenas, o para venderte transporte, manicuras, pedicuras, masajes... ¡Un agobio!

On avait déjà été briffé (merci Florian!) que Kuta n'était pas la ville rêvée pour passer des vacances tranquilles. Et ça se vérifie ! On s'y arrête car c'est la ville la plus proche de l'aéroport et que l'on est arrivé vers 22 heures. On est de suite marqué par l'ambiance particulière : jeunes australiens bourrés aux 4 coins de rue, bars discothèques musique à donf, les locaux qui te sautent dessus dès qu'ils te voient pour te proposer leurs services (taxi, hôtel, restaurant, boutique, champignons magiques...), massages... pesant l'atmosphère !







Pero por otra lado este sitio está bien si quieres aprender a hacer surf, ya que las olas son siempre pequeñitas y muy regulares. Pues por eso pasamos un día entero en Kuta, para empezar a planificar el resto del viaje y hacer surf. ¡Madre mía que difícil! Equilibrio cero encima de una tabla, y si encima tu “monitor” tampoco es que sea muy avispado para enseñar... jajaja Se marre . Me caía todo el tiempo, me dio un calambre de estos horroroso en el dedo del pie que te deja paralizado, me raspé toda la tripa y el pecho... ¡Normal! Nadie te avisa allí de que si no te pones una camiseta te quedas en carne viva!!! Estuvo gracioso, pero está claro que si quieres aprender a hacer surf como dios manda, más vale pagar un poco más y probar con una escuela de surf, no pagar 10 euros cada uno a dos personajillos que vete tu a saber si ellos mismo saben surfear LOL .

Le point fort de Kuta ça reste quand même la mer, et surtout le fait que ça reste le spot idéal pour apprendre à surfer ! Vagues régulières, taille moyenne, idéal pour se lancer. Du coup on s'est offert notre première leçon de surf pour quelques euros seulement avec des moniteurs locaux bien sûr, qui te donnent 3 conseils dans les 10 premières minutes, et après tu te débrouilles avec ta planche. Et là c'est parti : prise d'information, moulinet des bras, tentative de se lever, grosse vautre, buvage de tasse, remontée du courant pour se replacer et c'est reparti ! Au final on n'a pas égalé Kelly Slater, mais on s'est levé quelques fois et les sensations sont bonnes, ça donne envie de s'y mettre.











Por lo demás, a parte de hacer surf, lo que puedes hacer en Kuta es darte un paseo para ver los templos hindúes, observar a la gente, como actúa con sus rituales y sus ofrendas que hacen cada mañana (ponen un cestito con incienso, flores y comida delante de cada establecimiento), lo bendicen echando unas gotas de agua con una flor que se llama Frangipan, darte un masaje y para finalizar ir a la playa a ver la puesta de Sol que es bastante bonita, si no fuera por la cantidad de gente que va a verla Razz .

Sorti du surf, Kuta ça reste le point d'entrée de Bali, ça permet de s'acclimater un peu (chaleur, humidité, nourriture...), observer les rituels religieux locaux et apprécier le couché de soleil sur la plage.









A&A.

Voir les photos : Indonésie - Kuta ]

Posté par Adrien Alicia

SYDNEY

Le 24/10/12, 13:52

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Después de pasar este mes entre las vacas, las caminatas bajo la lluvia e incluso volviendo al hotel para trabajar 3 días, regresamos al Centro budista en Christchurch para volver a ver a todo el mundo y dejar nuestro coche allí, ¡Nos vamos un mes de vacaciones! Dentro de un año que es ya de vacaciones LOL

Après ce mois aux activités variées (vaches, rando sous la pluie, quelques jours de travail à l’hôtel...), on revient sur Christchurch pour laisser notre voiture au centre Bouddhiste et partir pour un mois de vacances !!!! Ouai, on est déjà dans une année de ‘vacances’ mais c’est pas pareil Cool !

Primera parada, Sydney – Premier arrêt, Sydney

Ya que estamos en este lado del mundo, no podemos irnos de aquí sin pasar por Australia y ver los canguros y los koalas Se marre . Australia es un país súper caro, sobre todo comparado con los sueldos de Nueva Zelanda, así que para alojarnos optamos por abrirnos una cuenta en Couchsurfing, cuya traducción es “surfear el sofá”. Esto es totalmente gratuito y la mejor manera de conocer gente local, que te de consejos sobre donde puedes ir, lo que puedes hacer, y lo mejor de todo, te alojas en sus casas de forma gratuita, pero eso sí, lo suyo es que luego tu alojes a las personas que quieran visitar la ciudad en la que vives para “devolver” el favor. En cuanto lleguemos a Toulouse empezaremos a alojar también gente, ole Razz

En étant en NZ, impossible de ne pas aller faire un tour chez les voisins (et rivaux...) australiens ! On veut voir des koalas et des wallabies, ça nous changera des kiwis... Problème : l’Australie, c’est immense !!!! On y loge tranquillement toute l’Europe. Donc il faut choisir une petite partie du pays pour visiter, nous ça sera Sydney et un peu plus tard Melbourne. Autre problème : c’est cher la vie en Australie Crying or Very sad , surtout quand on compare avec nos salaires de NZ. Donc il faut jouer fin pour ne pas se ruiner ! Pour le logement on a opté pour le Couchsurfing (littéralement, surfer le canapé). C’est énorme sur le principe : on s’inscrit sur le site internet, on crée un profil et on se met en contact avec d’autres membres pour voir s’ils peuvent nous héberger pendant quelques jours ! C’est gratuit et c’est un super moyen de connaître les locaux, partager leur expérience et connaissance de leur ville ! Si l’expérience est positive, on rendra la monnaie de la pièce en hébergeant à notre tour des touristes qui viendraient se perdre dans la ville rose Se marre !

Las dos primeras noches las pasamos en casa de Steve, un hombre de unos 50 y tantos años, deportista (cada mañana iba a las 7.30 a nadar al mar), aunque el día que fuimos con él simplemente entró a su club a ducharse y luego nos dijo: Venga chicos, ¿nos tomamos un café?... Ah pero.... ¿no vas a nadar?... ¡Uf no no! ¡ Que el agua esta muy fría! Choqu jajaja. Así que no sabemos si fue una coincidencia o si el hombre intenta hacer creer a la gente que le gusta nadar por la mañana. Su casita estaba genial, había que coger el ferry para llegar hasta su barrio, teníamos nuestra propia habitación y se portó muy bien con nosotros. Esta idea del couchsurfing esta súper bien.

Les 2 premières nuits, on dort chez Steve, homme d’une cinquantaine d’années, très sportif (on est à Sydney...), son truc c’est la natation. A priori il va nager tous les matins avant d’attaquer sa journée. On l’a accompagné une fois, mais il est juste allé à son club pour se raser, prendre une douche et en sortant il nous dit : « on va se boire un café ? ». Surpris, on lui demande s’il va nager ou pas, et il répond que non, aujourd’hui la mer est trop froide ! Bref, je suis aussi sportif que Steve ! Sa maison est superbe, dans un quartier chic de Sydney, on a même une chambre pour nous, classe ! Pour se rendre chez lui, on doit prendre le ferry depuis le centre, c’est quand même plus sympa que le bus... On s’est bien entendu avec lui et il était toujours dispo pour nous conseiller ou nous amener dans un endroit qu’il affectionne particulièrement. Première expérience de Couchsurfing : une réussite !









Pero lo mejor fue los días que pasamos con nuestra “familia” hispano-australiana Cool . Y digo familia porque así fue como nos trataron, como si fuéramos los primos hermanos que hacia mucho que no veían. El hecho de ir a la casa de esta gente surgió porque Paco, un señor de unos 75 años que emigró a Australia hace 40, se pasó por la agencia de viajes de mi hermana preguntando por los precios de los vuelos para ir a Australia. Entre unas cosas y otras se liaron a hablar y salió el tema de que nosotros estábamos en Nueva Zelanda y que íbamos a ir para allá. ¿Pues para que queremos más? Paco se hizo súper amigo de mi hermana y de mi padre, pasándose todas las semanas por allí hasta que nos envió el contacto de sus hijas que estaban en Sydney. Me puse en contacto con Lucy, la hija mayor, y la chica encantadora, diciéndonos que su casa era nuestra casa y que estaban deseando conocernos Se marre .

Après Steve, on change de quartier et on va passer 5 jours avec « notre famille espagnole de Sydney » ! Alors là, ce n’est pas du Couchsurfing classique, c’est une coïncidence heureuse qui nous a conduit jusqu’ici. Ça part de Sandra, la sœur d’Alicia, qui avait une agence de voyage. Un jour, Paco, la caricature de l’espagnol de 75 ans, va se renseigner pour connaître le prix des billets pour Sydney. En discutant, Sandra dit qu’elle a une sœur qui va surement passer quelques jours à Sydney et direct Paco lui dit qu’on doit absolument venir chez lui ! Et nous voilà ! en fait sur Sydney, ce sont les 2 filles de Paco qui y vivent. Lucy (42 ans) et Montse (41 ans) qui partagent leur appartement avec Pito (3 ans), fille de Lucy. Quand on était là, Paco y était aussi, comme ça la famille était au complet Razz ! On a eu un accueil fabuleux, comme si on était les cousins espagnols qu’ils n’avaient pas vu depuis 3 ans !









Pues allí que nos fuimos, a su casa en Redfern, un barrio con casitas de colores en el centro de Sydney, ¡qué majetes! En la casa estaba Paco, que ya había vuelto de España, Lucy y Pito (su hija de tres añitos, que se llama Valentina pero la llaman Pito, muy gracioso) y Montse, la hermana de Lucy que ha hecho un pacto con el diablo porque aparenta 15 años menos de los que tiene! Choqu jeje. Toda la semana hemos estado con Lucy y Pito, para arriba y para abajo enseñándonos todo Sydney y Montse nos sacaba por las noches a tomar unos vinitos Razz . En la casa mejor no podíamos estar... ¡Hasta nos hicieron churros para desayunar! Un encanto de familia.

On a passé tout notre temps avec Lucy et Pito pour les visites de jour, et le soir on retrouvait Montse pour la tournée des bars ! On était traité comme des rois, on a même eu droit à des churros maison pour un petit déjeuner, et ça pour les espagnols, c’est sacré Roulement des yeux !

Paco nos llevó también un día a ver el centro de Sydney y a explicarnos cómo había cambiado todo aquello desde que él llegó. Paco: ¡Esto ya no es lo mismo! No hay nada más que chinos por todos lados. Y es verdad, pasamos por China Town y allí no había ni un dios que se enterara de lo que estabas comprando, ¡todo estaba en chino! Triste . Estuvo muy bien ver Sydney desde la perspectiva de Paco, hablándonos de los emigrantes. Incluso nos hizo pasar al Club Español donde él solía ir, ¡Muy interesante! Decía Paco todo el tiempo, jeje.

Paco nous a aussi fait faire sa visite de Sydney sur un jour, ce n’était pas triste ! Tout le temps à commenter que c’était pas pareil avant, qu’il n’y avait pas tous ces chinois... Pour le coup il nous a amené dans Chinatown et c’est sûr que si tu ne maitrises pas le mandarin, tu ne peux rien acheter ! C’était quand même « muy interesante » (la phrase préférée de Paco, il disait ça toutes les 5 minutes) d’avoir quelques infos historiques sur le Sydney d’il y a 50 ans.

Puerto de Sydney y la Opera – Port de Sydney et l’Opéra

Lo que todos conocemos por fotos o por los fuegos artificiales de fin de año es La Opera de Sydney. ¡Me encantó! Yo no se cuantas fotos tengo de este edificio, de día, de noche, desde el barco... ¡Más bonito! El puerto está en pleno centro de la ciudad, con un montón de tráfico de gente por todos los ferries que vienen y se van para que la gente vaya a trabajar. Da gusto pasearse por allí por los parques verdes, sus árboles morados, un contraste muy bonito. Hasta puedes ver un aborigen, el único que vimos por cierto, tocando un instrumento típico de aquí, que no me acuerdo como se llama Etonn . Las vistas desde el puente también son impresionantes, eso sí, parece un puente corto, pero ¡ojo hasta que llegas a la otra punta!

La carte postale typique de Sydney, c’est l’Opéra ! On en a pris des centaines de photos (surprenant Mmmh ...) de jour, de nuit, de près ou de loin, même depuis le ferry. On n’avait par contre pas le budget pour assister à une représentation. Le port est en plein centre ville, les ferrys arrivent et repartent chargés principalement par les locaux qui les utilisent comme moyen de transport pour aller bosser. A côté, il y a un grand parc tout plein de verdure, super agréable pour aller se promener, prendre l’air, ou pour faire ses footings. Car la principale activité des sydneyens (j’improvise un peu sur ce mot, ça risque de pas être ça mais ça sonne toujours mieux que sydneyois !) c’est le sport : ils sont toujours en train de faire des footings, d’aller nager, les femmes vont courir en poussant la poussette et le bébé dedans, on voit beaucoup de femmes aller au boulot en tailleur + baskets pour faire les trajets en marche rapide et changer de chaussures quand elles arrivent au boulot Choqu ! À Sydney, si tu n’es pas bien foutu, bien affuté, tu passes pour un guignol... Un truc qu’on voit moins par contre, ce sont les aborigènes... Autant en NZ les maoris sont bien représentés, autant en Australie ça a l’air plus compliqué. Le seul que l’on a vu jouait du didgeridoo au bord du port pour gratter quelques pièces. Un autre truc sympa du centre ville, c’est la vue que l’on a depuis le pont. Il a pas l’air bien grand ce pont, mais quand on commence à y marcher on n’en voit pas la fin.











The Rocks

Justo al lado del puerto está el barrio más antiguo de Sydney, Las Rocas. Cuando lo ves no te resulta tan viejo, porque son edificios hechos con ladrillos y un poco fuera de lo común comparado con lo que ves por el resto de la ciudad. ¡Pero claro! Esto a un australiano le parece antiquísimo, teniendo en cuenta que Australia es un país prácticamente nuevo Choqu . Nosotros estamos acostumbrados a ver este tipo de cosas en España y en Francia, y la verdad que se echa de menos la arquitectura que tenemos Crying or Very sad . Si no, el barrio es muy bonito, con un montón de mercados y de bares para ir a tomarte una cerve, muy animado.

Toujours plein centre, on trouve The Rocks : le plus vieux quartier de Sydney. Bon, pour un européen, ça ne fait pas si vieux que ça, mais à l’échelle de l’histoire de l’Australie on est dans l’antiquité... C’est un coin remplis de petits restos, bars et commerces, plutôt agréable, bien animé, avec beaucoup de façades recouvertes de briques rouges, clairement d’inspiration toulousaine LOL !







Bondai Beach

Esto más que una playa es una parodia del australiano típico musculitos que va a exhibirse y a ponerse negro. ¡Maaaadre mia! Si nos hemos dado cuenta de una cosa nada más llegar a Australia, es que los australianos están obsesionados con el deporte (se van a correr ahí cuando más achicharra el sol por favor). Incluso ves a las mamás con bebés de meses corriendo con sus carritos y con un tipazo de cine. Hasta se pagan por lo visto un entrenador personal por ¡$85 la hora¡ Surpris . Bueno pues en esta playa solo ves eso, gente corriendo de un lado al otro y haciéndose fotos, jaja. Por lo menos coincidió con una exposición de esculturas en el mar y estaba entretenido el paseo.

The place to be pour exhiber les corps bodybuildés de ces messieurs et les tailles fines option seins siliconés de ces dames ! C’est l’endroit où il faut être vu... et accessoirement ça reste une belle plage. On a eu de la chance d’être là pendant une exposition d’œuvres d’art moderne tout le long du littoral, ça fait une promenade originale !







Los jardines botánicos – Les jardine botaniques

Esto es el típico parque al lado de los rasca cielos que le da un poco de oxigeno a la ciudad, donde todo el mundo va a correr o a comerse un sándwich a medio día. Lo que nos llamo mucho la atención es que hay carteles en el césped donde pone: POR FAVOR, PISEN EL CESPED. ¡Eso está genial! No viene el típico guarda plasta a decirte que no puedes pisar la hierba, aquí lo ponen expresamente para eso.

Le poumon du centre ville, un grand parc où il fait bon venir faire sa pause repas pour couper une longue journée de travail, voire faire son footing si tu es australien... C’est bien entretenu et on a été surpris par le fait que tu peux marcher dans l’herbe sans te faire sermonner par un garde Smile ... on en vient à se demander pourquoi la plupart du temps les pelouses sont interdites dans nos parcs... à quoi ça sert d’avoir de belles étendues d’herbe verte si on ne peut pas s’allonger 30 secondes ou faire un pique-nique !







Darling Harbour

Al otro lado de la ciudad está el puerto de Darling, mucho más moderno que el del centro, con un montón de restaurantes y parques para que jueguen los niños con el agua.

De l’autre côté de la ville on trouve ce port, plus moderne que celui du centre et rempli de restaurants. Il y a même un parc avec des jeux d’eau pour les enfants.

Taronga Zoo

Si vas a Australia y solo vas a pasar por Sydney, hay que ir a este Zoo. Está situado en lo alto de una colina con vistas hacia el mar. En el veras todo tipo de animales, pero lo que realmente andábamos buscando eran los canguros, wallabies y los koalas, ya que no sabíamos realmente si podríamos verlos en libertad o no. Es un día entretenido porque el zoo está muy bien cuidado y ves un poco de todo.

On y est allé juste pour voir des koalas & wallabies ! On a été servis et en plus le zoo est bien foutu. Perché sur une colline, il offre une belle vue sur la mer. On peut y trainer facilement une journée, on voit un peu de tout, mais c’est sûr que de voir les koalas, wallabies et kangourous, c’est ce qu’il y a de mieux ! À faire si vous n’êtes pas sûr d’en voir par la suite en liberté, ce qui était notre cas.













O-bar y vista nocturna de la Ciudad – O-bar et vue de Sydney by night

Uno de los días Lucy nos comentó que estaría muy bien ver la ciudad de noche y que había un bar en lo que solía ser el edificio mas alto del Pacifico (superado ahora por Singapur) con unas vistas preciosas. El bar daba vueltas sobre si mismo, lo que te permitía ver todo Sydney mientras te tomabas una copita. Después de tomar algo nos dimos una vuelta para ver Sydney de noche, ¡Vaya fotos que se pueden hacer! Aún seguiría yo allí si Adri no me dijera: ¡La última y ya! Jeje Razz .

Lucy nous a amené un soir pour faire un tour dans la ville et aller boire un cocktail dans une tour immense, bâtiment le plus haut du pacifique à sa construction, avec au dernier étage un bar/restaurant tout vitré et qui tourne sur lui même Cool ! Donc bien assis à notre table, on sirote tranquillement notre verre et on voit la ville qui défile sous nos yeux !









Blue Mountains

A dos horas en tren de Sydney están las Blue Mountains, unas montañas con barrancos que descienden hasta el bosque típico australiano. La gente nos comentaba que por lo menos necesitabas dos días para verlo bien, pero la verdad es que con uno lo ves todo más que de sobra. Puedes cogerte un autobús que te para en cada vista o foto bonita que puedes hacer, o si no puedes optar por caminar, que es lo que hicimos Adri y yo. Fueron 5 horas de marcha, muy tranquilita y fácil para bajar hacia el bosque, ver todas las cascadas y el punto más conocido, las “Three sisters”, tres montículos en la montaña que tampoco son muy impresionantes, pero salen de lo común con respecto al resto del paisaje. Lo que más nos impresionó fue ver cacatúas por todos lados Roulement des yeux . Llama mucho la atención porque no es un pájaro que se camufle muy bien entre tanto verde del bosque, pero queda muy bonito verlas volando y bebiendo del agua de las cascadas.
En general nos gustó ir a ver estas montañas, pero si que es verdad que no nos impresionaron mucho después de ver los paisajes de Nueva Zelanda, así que lo suyo habría sido ir primero a Australia para apreciarlo bien.


A 2 heures de train de Sydney se trouvent les Blue Mountains. Ce sont des collines recouvertes de forêt typique du coin (ça change des forêts NZ !). On peut se payer un bus qui fait des passages réguliers et dépose dans les endroits les plus intéressants pour prendre les photos, mais on a préféré marcher. Ça nous a pris 5h pour faire le tour pour descendre dans la vallée en pleine forêt puis remonter pour voir quelques cascades et le point le plus connu : les Three Sisters. Ce sont 3 gros monticules qui se détachent de la montagne, ce n’est pas non plus spectaculaire ! C’est vrai que le coin est beau, mais pour nous la comparaison était difficile quand on voit ce qu’offre la NZ... Il y a quand même un truc qui nous a vraiment plu : on peut voir voler des dizaines de cacatoès qui viennent se poser en haut des cascades pour boire un coup ! Et avec leur beau pelage blanc, ils ne passent pas inaperçus au milieu du vert de la forêt.









De barbacoa – Barbecue !

Y para finalizar, barbacoa a la orilla del mar con Clemence, una amiga de Adri que vive en Sydney y su novio Guillaume. Esto de las barbacoas está fenomenal porque el ayuntamiento pone planchas por todos los parques y playas de Australia, para que la gente se anime a salir y comer fuera, muy chulo.

Et pour finir, un petit barbecue Razz ! Les australiens (et les kiwis dans une moindre mesure) sont de grands adeptes du barbecue en famille ou avec ses amis. Alors bien sûr, on a la même chose chez nous, sauf que eux en plus d’aller chez untel pour chauffer la braise, ils peuvent aller dans n’importe quel parc ou plage car ils ont des barbecues publics à disposition ! Ce sont en fait des planchas, la plupart du temps c’est gratuit, et il suffit d’en trouver une libre pour faire griller sa viande et ses petits légumes. Là ou je ne sais pas si un tel système tiendrait longtemps en France, c’est qu’une fois leur cuisson terminée, ils nettoient tout à fonds pour que le prochain puisse utiliser la plancha sans problèmes ! Sur Sydney, j’ai retrouvé une copine de la fac, Clémence, qui y vit avec son copain Guillaume. On s’est donc rencardés pour se faire le classique BBQ australien !





Tras una semana intensa de visitas y de conocer gente nueva en Sydney, nos despedimos de nuestra “familia” que nos lleva al aeropuerto rumbo Bali, Cool

Superbe semaine à Sydney, si ce n’était pas si loin du Lauragais, on s’y verrait bien passer un peu plus de temps !

A&A.

Voir les photos : Australie - Sydney ]

Posté par Adrien Alicia

HOLYFORD TRACK

Le 13/10/12, 13:55

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Y de la granja de vacas.... ¡A Fiordland! Tenemos 4 dias sueltos antes de volver al hotel para trabajar 4 dias mas, asi que con nuestra amiga Lauren de Zimbabue decidimos hacernos una caminata de 4 dias en la region de los Fiordos, una de las mas bonitas (cuando no llueve) de Nueva Zelanda.

On quitte les vaches pour rejoindre Fiordland. On a 4 jours avant de retourner bosser à l’hôtel pour 4 jours de plus. On a donc planifié de faire une rando avec Lauren, notre amie du Zimbabwe, dans l’une des plus belles zones de Nouvelle-Zélande (du moins quand il ne pleut pas...).

Nuestro objetivo era hacer el famoso Milford Track antes de que empezara la temporada de verano el 23 de Octubre, porque a partir de esta fecha es imposible, tienes que reservar y todo esta ya cogido hasta Abril!!! Triste . Pero al informarnos en el DOC (el centro de información) nos dijeron que habia alto riesgo de avalanchas, que los puentes los retiraban en invierno y que aun no estaban puestos, asi que debes atravesar rios y leches... Por lo que nos fuimos a lo seguro y escogimos el Holyford Track.

On avait envie de faire Milford Track, une des randos les plus réputées du pays. Mais quand on est allé se renseigner au DOC (l’organisme qui gère tous les parcs nationaux de NZ), ils nous ont très fortement conseillé de ne pas faire Milford Track : risque d’avalanches, certains ponts retirés pendant l’hiver n’étaient pas replacés Embarras ... On ne va pas tenter le diable, on choisit une autre rando, Holyford Track.

Cargados de comida deshidratada y noodles para 4 dias, alli que nos fuimos. De Te Anau (la ciudad mas proxima de Fiordland) hasta la entrada al Holyford track tienes que conducir 1 hora por la carretera de Milford, ¡Y que bonito! Nos hizo un dia magnifico (y eso que anunciaban nieve), cada 5 minutos te paras a ver algo... Mirrors lakes, el lago Gunn, vistas a las montañas donde vimos a un loro muy conocido aquí llamado Kea... Sin prisa alguna para empezar el track Se marre , jeje.

Chargés comme des mules, avec de la bouffe déshydratée pour les 4 jours de marche, on part donc de Te Anau (dernière ville avant les fiords) pour rouler pendant 1 heure et atteindre le départ de Holyford Track. Il fait super beau, la route est fabuleuse et on s’arrête toutes les 5 minutes pour prendre des photos : Mirror Lakes, lac Gunn, vue sur les montagnes et même une espèce de perroquet local, le Kea.











CARPARK A ALABASTER HUT

Como andamos cortos de días como para quedarnos una noche en todas la cabañas, quisimos llegar hasta Alabaster hut, que según el cartelito te lo anunciaban como 6 horas, pero entre que te paras a comer y a hacer cincuenta mil fotos nos lo hicimos en 7 y pico. El caminito era súper fácil, casi plano y todo muy bien cuidado, con puentes colgantes, cascadas, caminando a lo largo del río holyford y con un solazo, ¡ Ay que bien! ¡Nos encantó! Pero después de 7 horas estas cansado y quieres llegar a la cabana ¡ya! Razz

Du parking jusqu'au premier refuge, on a mis 7h. Ça peut se faire en 6h mais il faisait vraiment beau, du coup on a multiplié les pauses photos ! Faut dire que cette partie est magnifique : on longe une rivière la plupart du temps, c’est pas trop dur vu que ça monte quasiment pas, on a même eu droit à une cascade ! C’est vrai que c’est beau, mais après 7h il nous tarde vraiment d’arriver au refuge, Alabater Hut.









Al llegar casi arrastrando los pies ¿Qué nos encontramos? Pues 8 lanchas amarradas en el lago y mil botas y ropa secándose en las barandillas de la casita, ¡No me jodas! ¿No me digas que no va a haber sitio para dormir? Pues efectivamente, allí había un grupo de 24 tíos, que llevaban 3 días acampados allí, con barbacoas, con duchas portátiles, ¡todo lo que te puedes imaginar! Se nos cayó el alma a los pies cuando nos dijeron que solo había dos colchones libres, pero claro, dormir ahí entre tanta gente... Bueno pues el susto nos duró un segundo, porque empezaron a desmontar la ventana de la habitación que hay reservada para los que cuidan el camino (con tres camas, chimenea y ducha Cool ), nos invitaron a cenar cordero con patatas y nos emborracharon a ron coca!!! Jajaja. ¡Que majetes! ¡Vaya noche buena e inesperada que pasamos! Jugando a juegos de beber, que ahí fue la cosa, que te lías te lías... Todos super amigos, hasta que nos caimos redondos a dormir.

Normalement les refuges, c’est plutôt désert... pas le genre d’endroit qu’on peut recommander pour faire des rencontres ! Mais en arrivant, surprise !!! 8 jetboats amarrés devant le refuge, panique : faudrait pas que le refuge soit plein et qu’on doive rebrousser chemin pour se trouver un autre endroit où dormir ! Effectivement 24 mecs avaient choisi ce WE pour passer 3 jours entre eux avec un programme simple mais efficace : bonne bouffe, chasse, pêche, jetboat, apéro Roulement des yeux ... Problème, il ne nous reste plus que 2 matelas dans le refuge, et franchement, essayer de s’endormir dans un vestiaire de 24 bonhommes saouls, entre le bruit et l’odeur, ça donne pas envie... Heureusement pour nous, ils étaient un peu bricoleurs : ils ont démonté la fenêtre d’une chambre normalement réservée aux guides. Du coup on a dormis dans une chambre à part, avec 3 lits superposés et même un petit poêle privé. Le grand luxe Cool ! Mais ça ne s’arrête pas là : ils nous ont invité à partager leur repas, agneau et légumes au barbecue, puis on a passé la soirée à parler avec eux, ils nous ont fournis en rhum coca jusqu’à plus soif et on s’est couché vers 2h (heureusement que notre chambre n’était pas trop loin !).











A la mañana siguiente, con resaca claro esta Etonn , la cosa fue incluso mejor. El día estaba también soleado, y ellos tenían que empacar todas sus cosas porque venia un helicóptero a recuperar todo lo que se habían traído y para subir sus lanchas a lo alto de una cascada, ¡un jaleo vamos! Pues mientras hacían todo esto, Jeff, el organizador del viaje, nos dijo, ¡Venga chicos, que os doy una vuelta en lancha! Bueno, bueno, bueno, ¡esto si que moló! Nos llevó por el río, cruzando rápidos, ¡a toda pastilla! ¡Buf, que subidón! El paisaje visto desde el agua era 3000 veces mejor, ¡Buah, genial! Vamos, que me quiero comprar una lancha LOL , jajaja. Pero todo lo bonito se acaba y habia que caminar.

Le matin suivant, au-delà d’une légère gueule de bois, on a encore eu droit à une surprise ! Alors qu’ils étaient en train déplier leur campement (petit détail, ils se faisaient tout amener par hélicoptère... je n’ose même pas imaginer le budget du week-end !), leur organisateur, Jeff, nous propose d’aller faire un tour en jetboat. Pas de refus !!! On s’attendait à faire 5 minutes de bateau à grande vitesse, mais au final on y a bien passé 20 minutes à serpenter entre les rapides et passer dans des endroits avec à peine 10 cm de fond ! L’adrénaline est bien montée et les paysages de toute beauté défilaient à toute vitesse ! En suivant, ce n’est pas facile de repartir à pieds avec notre chargement pour se rendre au prochain refuge...









ALABASTER HUT A DEMON TRAIL HUT

Nada mas cruzar el primer puente habia un cartel diciendo... - A partir de este punto el camino es difícil y desnivelado, solo gente con experiencia puede hacerlo. Bueno, ¡no sera para tanto! ¡Maaaadreee mia! Es verdad que el hecho de caminar con resaca no ayudó demasiado, Triste , pero es que a partir de ese punto el camino no lo cuidan para nada. Subidas y bajadas entre rocas que escurrían como el demonio (de ahí viene el nombre del trayecto, Demon trail), charcos de barro donde te hundías hasta la rodilla si no encontrabas otra alternativa, árboles gigantes caídos que había que escalar, los puentes ya no eran puentes, eran alambres (que estaban chulos, pero que si te escurres no lo cuentas).

Après 20 minutes de marche tranquille, on arrive à un premier pont précédé d’un panneau : « à partir de ce point, uniquement pour les randonneurs expérimentés et en bonne forme physique ». On ne pourra pas dire qu’on n’a pas été avertis ! Ça grimpe sec par endroits, c’est plus de l’escalade que de la rando. On est tout le temps obligés de contourner d’énormes flaques de boue (des marres en fait...) qui font la largeur du chemin, et si tu ne contournes pas, tu t’enfonces jusqu’aux genoux ! De temps à autres, on trouve un tronc énorme au milieu de la piste, obligés de contourner ou escalader. Et les ponts, ça sert à rien les ponts ! Maintenant c’est juste des ponts de singe (3 cordes tendues...). Ajoutez à cela notre petit mal de tête persistant suite à la soirée de la veille, on a tout de suite mieux compris pourquoi ce passage s’appelait ‘Demon Trail’ Twisted Evil !

Antes de llegar a la cabaña donde íbamos a dormir había otra un pelin mas cerca, así que nos dijimos, ¡anda ya, dormimos en la más cercana! ¡Bueno! Pues vimos un cartel que decía que la cabaña estaba a 30 minutos pero que podría haber una zona con agua para atravesar y llegar hasta ella, ¿zona con agua? ¡Había que atravesar un puto río! Jajaja. Al principio no nos dimos cuenta, vimos una señal al otro lado del río pero nos dijimos ¡será otra caminata! Así que ahí fuimos caminando buscando la dichosa cabañita, y que no la encontrábamos, no la encontrábamos... Lo que sí encontramos fue una Tibia humana Neutre (no la quisimos coger pero lo diremos en el DOC este para que informen). Asi que entre pitos y flautas, pues que intentaos atravesar el dichoso rio... ¡ pero imposible! Adri se quito las botas todo decidido, pero en cuanto puso un pie en el agua dijo, ¡Y una leche, esta congelada! Pues ale, vuelta a caminar, cuando tu cuerpo ya se ha hecho a la idea de que se ha terminado... ¡Pues no! Nos quedaban casi dos horitas más Mad .

On n’avait pas prévu d’arriver à Demon Trail Hut, on avait ciblé un autre refuge plus proche. Environ 30 minutes avant d’arriver, on voit un panneau qui annonce que parfois l’accès au refuge est rendu difficile à cause des fortes chutes d’eau... Qu’importe, on se dit qu’on va encore avoir droit à un bain de boue, c’est pas ça qui va nous arrêter ! Donc on s’avance jusqu’à arriver à une rivière, au moins 50 mètres de large Choqu . De l’autre côté de la rivière on voit un repère qui annonce la suite de la piste... On n’y croyait pas au début, mais après avoir passé plus d’une heure à chercher un autre passage, on a du se rendre à l’évidence : ce soir on dormirais à Demon Trail Hut, ou quelque part dans la forêt (j’avais quand même tenté le coup de la traversée en enlevant les chaussures, après 2 pas je ne sentais déjà plus mes pieds tellement c’était gelé...)! Petite anecdote au passage, on a trouvé un tibia humain (validé par Alicia...) pendant qu’on cherchait le passage pour le refuge. On a avertis plus tard le DOC et on a su qu’ils avaient retrouvé suite à cette info un hélicoptère écrasé en 2004 avec 2 personnes à bord... Glurp... On ne savait pas ça sur le moment, le seul truc qu’on savait c’est qu’il fallait faire demi-tour pour rejoindre Demon Trail Hut. Au moins 2 heures de plus, la journée va être longue !









Con incluso peores condiciones que el camino anterior, porque en este tenías que atravesar riachuelos con cascadas, donde había que saltar pero si fallabas te caías y te llevaba la corriente... Pues al final llegamos a la cabaña, toda una aventura, pero que no la repetiríamos, si no fuera porque a la mañana siguiente nos tocaba dar la vuelta y venir por el mismo sitio, Mmmh , jajaja. Cenita y a dormir.

Ces 2 heures de plus étaient encore pire que les 6 que l’on venait de faire : maintenant on avait droit à des ruisseaux à traverser en sautant, et l’eau glacée ça ne donne pas envie de se louper sur ses appuis. Enfin, on a bien fini par y arriver à ce refuge, mais autant vous dire qu’on n’a pas trainé : repas (pas gastronomique) et au lit ! La bonne nouvelle c’est que le lendemain on refait la même chose dans l’autre sens !

DEMON HUT A HIDDEN FALLS HUT

Cuando tu cuerpo no tiene resaca y te esperas lo peor... la cosa no esta tan mal. Al día anterior nos costó 8 horas llegar (cuando anunciaban 5), pero por arte de magia esta vez lo hicimos en 4h y media Smile . Nos había parecido tan horrible al día anterior, que la segunda vez que lo haces, no lo piensas y tiras para adelante.
Como era pronto todavía y no estábamos cansados nos dijimos ¡Pues vamos hasta la siguiente y así el último día solo caminamos 3 horas! ¡Buf! Yo no sé que me pasó, pero al final ya no podía con mi alma. Ocho horas sin parar prácticamente porque encima nos llovió todo el rato. Esta vez no paras para hacer fotos porque no se ve nada, las nubes lo cubren todo y solo ves niebla, menos mal que lo vimos el primer día.


Finalement ce n’était pas si terrible ! Le fait de connaître la route et de savoir à quoi s’attendre, on a torché le passage en 4h30 au lieu de 5h annoncées ! Du coup sur notre lancée on s’est dit que ça valait le coup de se rendre directement au prochain refuge, comme ça il ne nous resterait que 2 ou 3 heures de marche pour le dernier jour. Ça nous a donc encore donné une journée de 8h de marche, dont les 4 dernières sous la pluie ! Moi j’ai pas eu de problèmes pour garder le rythme, mais Alicia a eu un finish difficile ! Elle en a bien chié, au point de me jurer que c’était sa dernière rando, plus jamais ça ! ( Razz menteuse !!!).

Llegamos a la cabaña, una casita muy cuca y chiquitita, con la chimenea en la habitación, ¡un lujo! Al principio estábamos solos, hasta que llegó Jorge, un chico de Barcelona que se estaba iniciando a caminar por montaña y viajaba con su paraguas y su almohada, jajaja. ¡Que alegría me da siempre cuando me encuentro un español! ¡Que aquí estamos casi en peligro de extinción! Jeje. Nos liamos a darle al pico, a contarnos mil historietas y las de él súper graciosas que me meaba de la risa, así que nos dieron casi las 2 de la mañana, ¡total! Para 2 horas que hay que caminar al día siguiente...

Le refuge était bien calme, jusqu’à l’arrivée de Jorge (le genre de prénom espagnol que je suis incapable de prononcer !) , un barcelonais ! C’est bon, on a retrouvé Alicia ! Jorge est super sympa et on a pu échanger des anecdotes en tout genre jusqu’à pas d’heure !



CAMINO HACIA EL COCHE – RETOUR A LA VOITURE

Bueno esto fue ya tromba de agua, 2 horas sin parar de caminar y calados hasta las orejas. Llegamos al coche y caminito de Te Anau, que vamos a echarle morro e ir al hotel de la misma cadena del nuestro donde te hacen descuento por ser de la plantilla, ¡que queremos una ducha en condiciones y no un camping! Nos salió redondo, porque con el descuento el precio era el mismo que una noche de camping, solo que aquí nos dieron de cenar por cuatro duros Smile , muy bien esta aventura, pero donde haya una ducha y un bater... que se quiten las letrinas, jeje.

La douche... Pendant 2 heures, pluie tout le temps, on est trempes jusqu’aux os ! Ensuite, retour sur Te Anau où on se fait plaisir en prenant une chambre à l’hôtel. Faut dire que ça ne nous revient pas plus cher que le camping vu qu’il y a un hôtel de la même chaine que le notre et on a des réductions ! Cette fois c’est vraie douche, vrai lit, vrai restau, c’est bon de retrouver son petit confort Se marre !

A&A.

Voir les photos : Nouvelle-Zélande - Holyford ]

Posté par Adrien Alicia

HELPX IN A DAIRY FARM

Le 06/10/12, 5:39

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La casita de Graham y Debbie – Chez Graham & Debbie

Llegamos a Edendale en Southland, donde lo único que se ve por todos lados son ¡granjas! Nada más llegar a la casa nos recibió Debbie, una mujer súper majeta, ¡pero madre mía como olía a vaca! Te hace meterte de lleno en la experiencia, jeje, Razz . Su marido, Graham, un personaje de mucho cuidado, pelo largo, escucha heavy metal, pero un tío mas bueno que el pan, llegó por la noche y preguntó: ¡A ver! ¿Qué tal el inglés?... y Debbie dijo: ¡Muy bien!... Así que a partir de ahí empezaron los dos a hablar y a hacernos sentir como en casa desde el primer momento. ¡Vaya pareja mas maja, pero menudo acento! ¡Ojo para entenderles! A veces había que reírse pero porque sabias que lo que habían dicho era gracioso, no porque lo hubiéramos entendido, Cool.

Arrivés à Edendale, dans le Sud, les paysages ne sont pas très variés : des fermes, des champs, des fermes... On pouvait pas choisir mieux pour notre semaine de « Vis ma vie de fermier » ! Arrivés chez nos hôtes, on est reçu par Debbie, une femme super sympa, mais le premier truc qui nous a marqué, c’est que ça sent la vache de partout !!! Ouaw, totale immersion, pas de transition ! Quelques minutes plus tard arrive son mari, Graham, le cheveux mi-long, qui ne jure que par le Heavy Metal... mais adorable lui aussi ! Ils nous ont de suite fait nous sentir comme à la maison, toujours à nous raconter leurs histoires et sortir leurs blagues. Par moment c’était un peu chaud avec leur accent : plus on est dans le Sud, plus l’accent est prononcé (comme en France en fait Se marre !). Mais on gère, on est passé maîtres dans l’art de rire dans le tempo même si on n’a pas tout compris d’une blague...





El trabajo en una granja – Le travail à la ferme

Bueno bueno, esto es una auténtica locura. Se levantaban (porque nosotros no) a las 4 de la mañana para ir a ordeñar. El ordeño empezaba realmente a las 7, pero hasta que consiguen reagrupar a las vacas que están esparcidas por todo el terreno que tienen se tarda un rato. Las vacas las ordeñan dos veces al día, los 7 días de la semana, lo que significa que fines de semana y vacaciones tururu. Solo se cogen una semana al año para ir a visitar granjas de vacas en otros países Surpris .

Alors eux c’est des vrais ! Levés tous les jours à 4h pour préparer la première traite qui commence un peu après 5h (le temps de regrouper toutes les vaches). Ils font ça tous les jours, même 2 fois par jour (rebelote à 17h). Donc la notion de weekend, faut oublier ! Et les vacances ? Ben ils prennent une semaine en février tous les ans pour aller... visiter d’autres exploitations en Australie, Canada, Etats-Unis Mmmh . Des passionnés...







A parte de ordeñar dan de comer a los terneros, limpian, cargan, descargan, cortan árboles... ¡mil cosas! Y en todo esto nosotros ayudábamos dos horas al día y ni eso. Cuando hacia frío nos decían: Chicos, que hace mucho frío hoy no salgáis de casa que os vais a helar. Cuando hacia calor: Oye, iros a visitar los alrededores porque días como este no hay muchos... Etonn Así que entre pitos y flautas a lo que ayudábamos era a hacerles la comida y limpiar un poquejo. Y mira que hacia falta limpiar en su casa. El primer dia nos pusimos a limpiar, Adri se encargó de pasar la aspiradora por toda la casa y al sofá gris, que en realidad era rojo, y yo a limpiar las cacas de un ratón que se había colado allí el año la tos, porque nos lo encontramos momificado Surpris

Le reste de la journée, ils ont toujours de quoi faire : nettoyer la merde, entretenir le terrain, soigner des bêtes, les déplacer... Nous on devait aider 2h par jour (sans se lever à 4h du mat, ouf Razz !), mais franchement, on n’a rien foutu (ou presque...). Un jour de grosse pluie, Debbie est venue nous trouver pour nous dire que ce n’était pas la peine de sortir, il faisait trop froid, on allait être trempes... Un autre jour, grand soleil : elle vient nous voir et nous dit d’en profiter pour aller visiter les alentours, pare que c’est pas souvent qu’il fait beau ! Au final, on n’aura pas trop fait les fermiers, mais on se chargeait surtout de leur faire à manger ou de faire le ménage dans la maison. Et ça en avait vraiment besoin : le canapé avait l’air gris, après nettoyage on a découvert qu’il était rouge ; des souris avaient élu domicile sous l’évier...









Si no, en cuanto a las vacas el trabajo estaba muy chulo. En este periodo del año todas las vacas se ponen a parir (la vida que llevan está prácticamente programada como si fueran máquinas las pobres):
- De Febrero a Mayo: Las vacas ya están preñadas y hay que ordeñarlas dos veces al día.
- De Mayo a Agosto: Periodo de descanso en el que se las “seca”, es decir, no se las ordeña para que toda la energía se concentre en la gestación del ternero.
- De Agosto a Octubre: Todas las vacas se ponen a parir, hay que amamantar a los terneros, decidir cuales venden y cuales se quedan...Es el periodo donde más trabajan porque hay muchas vacas que tienen problemas durante el parto y pueden morir Crying or Very sad .
- De Noviembre a Enero: Les pintan la base de la cola de colores para identificar cuando les viene el periodo y poder fertilizarlas otra vez, con el toro o inseminación artificial. Esto de la pintura es muy gracioso, y al principio no entendíamos que tenia que ver con que las vacas tuvieran la regla. Graham nos explicó que cuando una vaca tiene el periodo las demás se suben encima de ella como si fueran a montarla (aunque sean vacas), y eso hace que la pintura se borre, por lo que los granjeros identifican cual esta en celo y cuales no.

¡Y vuelta a empezar! Una vaca puede vivir muchos años, pero si ven que pasan dos años y no se ha quedado preñada nunca la llevan al matadero Triste , muy triste.


Au cours de nos quelques séances en mode parfait petit fermier, on a quand même appris énormément de choses sur le cycle de vie de ces bovins... Présentation rapide :
- février à mai : 2 traites par jour...
- mai à août : période de repos, ils disent qu’ils les sèchent... pas de traite donc histoire qu’elles refassent le plein de vitamines pour donner du bon lait par la suite !
- août à octobre : là c’est la foire aux naissances ! Les petits sont de sortie et il faut choisir ceux qu’ils gardent, qu’ils revendent... Grosse activité car il faut soigner les petits et les mères aussi car il y a souvent des problèmes au moment de mettre bas...
- novembre à janvier : ils repèrent les cycles mensuels des vaches pour procéder à l’insémination, quelquefois à l’aide d’un taureau, mais le plus souvent c’est artificiel : le fermier met un gant, s’arme de la semence, et vous imaginez la suite...

Et c’est reparti pour un cycle ! Les bonnes vaches donnent suffisamment de lait pendant 10 à 15 ans. Quand elles perdent leur productivité, pas de sentiments, à l’abattoir...







Lo que fue aún mas triste fue un “parto” que presenciamos Adri y yo. El ternerito se murió antes de nacer porque la madre no podía parir sin ayuda. Graham tuvo que llamar a la veterinaria, una chiquita súper joven, que en un pis pas metió su brazo entero, cadenas, una especie de gato, bueno bueno, ¡una barbaridad! Menos mal que la mamá no sufrió porque la pusieron la epidural. ¡Pero qué penita! Adrien se quedó más blanco que una sábana cuando vio al ternerito, y a mi se me saltaban las lágrimas de ver a la mamá junto a su bebé Crying or Very sad , muy triste, pero así es la vida, por lo menos la mamá sobrevivió.

Dans la série « ça ne se passe pas toujours bien », on a assisté à un bien triste événement... une vache devait mettre bas, mais ça a trop duré du coup le veau est mort avant d’être sorti Triste . Graham a donc appelé la vétérinaire qui est venue pour sortir le cadavre. Après une épidurale et une épisiotomie (déjà ça calme...) la véto a commencé à sortir un espèce de cric, des chaines, bref l’artillerie lourde pour éjecter le cadavre du veau hors de la mère... moi j’étais blanc comme la neige de voir ça, mais pour Graham et la véto ça n’avait rien de choquant, au moins la mère se porte bien !

Pero no todo eran cosas así, hubo otra que tuvo gemelas y estuvimos viendo como se ponían de pie por primera vez, la placenta de la madre, jeje, muy educativo.

Heureusement ça ne se passe pas toujours comme ça ! On a ainsi vu 2 petits jumeaux tout juste nés, et qui luttaient pour commencer à tenir sur leurs 4 pates ! Le genre d’image que l’on préfère retenir.







Cosas que ver alrededor de Edendale – Choses à voir autour d’Edendale

Southland es una zona donde casi todo son prados con ovejas, es plano y siempre llueve Mad . Pero por lo menos hay dos cosas que merecen la pena visitar:

Ben pas grand chose en fait ! Des champs, des moutons, des vaches... on a quand même trouvé de quoi visiter.

The Catlins

El Catlins es una carretera de unos 150 km y con un montón de cosas que ver como Nugget Point (donde viven los pingüinos de ojos amarillos y leones de mar), cascadas, el bosque petrificado (unas rocas donde hay troncos de árboles fosilizados) y Slope point (el punto mas bajo de Nueva Zelanda donde hay una señal con la distancia hacia el polo sur y el ecuador), entre otras cosas.
Es bonito de ver, pero en un día te lo recorres todo perfectamente y no hace falta volver a pasar por allí.


Les Catlins c’est une route qui longe la côte du Sud-Est sur 150km, parsemée de petits sites où il fait bon s’arrêter pour voir des colonies de pingouins (Nugget Point), des cascades, une forêt fossilisée dans la mer, le point le plus au Sud de l’île du Sud (Slope Point)... Ça se fait sur une journée maxi, c’est sympa à faire mais ce n’est pas non plus immanquable.







Praderas de tulipanes – Champs de tulipes

Esto si que no nos esperábamos verlo porque no lo encuentras en ninguna guia. Fueron Graham y Debbie los que nos explicaron que hacia unos anos los holandeses habían decidido plantar tulipanes en esta zona para poder vender las flores durante todo el año. ¡Que bonito! Unas praderas súper largas con filas y filas de tulipanes de colores. Tuvimos suerte de caer por allí justo en la época en la que estaban floreciendo, Roulement des yeux .

La surprise du coin ! On ne sais pas trop comment ça se fait, mais ils cultivent des tulipes à foison dans le coin : des champs entiers ! En fait c’est pour les exporter vers les Pays-Bas, histoire que nos amis hollandais puissent nous vendre de la tulipe toute l’année !







Una semana de granjeros se hace corto, pero suficiente para tener una vista general de lo sacrificada que puede llegar a ser esta vida, de trabajar trabajar para tampoco obtener grandes beneficios Mmmh . Próximo paso, Fiordland, una de las zonas más bonitas de Nueva Zelanda, donde puedes irte a caminar con tu mochila días y días. Pues a eso vamos, a hacer el Hollyford track con nuestra amiga Lauren.

Fin de notre semaine de fermiers, ça passe vite mais on a eu un bel aperçu de tous les sacrifices et l’investissement qu’il faut consentir pour rentabiliser une exploitation... Quelle vie ils ont... Nous, on rends nos bottes pour rechausser les chaussures de rando : direction Fiordland pour une rando sur plusieurs jours avec notre amie Lauren !

A&A.

Voir les photos : Nouvelle-Zélande - Edendale ]

Posté par Adrien Alicia
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