Le 17/07/15, 14:20
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Le premier contact avec un pays où l'on voyage est généralement l'aéroport par lequel on arrive et la grande ville que l'on rejoint juste après ... un premier aperçu parfois mitigé entre le plaisir de la découverte et les réalités entrevues. Pour Kuala Lumpur, cela n'a pas fait exception : après 12h d'avion assez crevantes (un voisin ronfleur nous ayant privés de sommeil... heureusement que la sélection de films est plutôt bonne chez Lufthansa !), nous avons découvert l'aéroport puis la ville, d'une impressionnante modernité (les immenses tours Petronas et autres buildings, les énormes téléphones portables des habitants, les prises électriques dans le métro...) mêlée aux constructions plus traditionnelles (mosquées, palais royal...) et à un mélange d'odeurs et de bruits incessants, le tout sous une chaleur écrasante. Une entrée dans la Malaisie pas si facile !
Mais Kuala Lumpur nous a aussi offerts des aspects plus attrayants et en tout cas intrigants : la nourriture d'abord, qui est un mélange de gastronomie indienne, chinoise et malaise, avec de délicieuses surprises, comme ces petits raviolis chinois fourrés à la soupe, les brochettes de poulet satay, ou encore les rotis, petites crêpes frites servies avec une sauce au curry, mais aussi des découvertes plus déroutantes (le butter chicken, du poulet frit avec en accompagnement... de la friture miam miam !), voire carrément écoeurantes, comme le durian, étrange fruit dont l'odeur rappelle le pourri ou le caca... et dont la chair est grasse comme du beurre, et qui semble très apprécié des Malaisiens ! Nous l'avons goûté avec Alan, un ami malaisien de Thibault, qui nous a assuré qu'un Français sur 10 appréciait ce fruit... (ce qui, pour être honnête, nous a paru beaucoup).
Nous avons eu la chance d'arriver à Kuala Lumpur le jour de l'Aïd, qui célèbre la fin du Ramadan, dans une ambiance particulièrement animée. Nous avons aussi eu droit à une séance de tir de feux d'artifices en pleine rue, tirés - selon notre serveur mais il est possible que nous n'ayons rien compris... - par un Chinois qui vient tous les 3 jours (???)
* Note pour les futurs voyageurs :
- Ne pas réserver d'hébergement à l'avance est tout à fait possible à KL, il y a dans Chinatown plein de petites guesthouses pas chères...
- Ne pas hésiter à négocier le prix des taxis (en cas d'échec, sortir du taxi plutôt que de payer trop cher est une bonne option pour garder un peu de dignité).
Nous ne nous sommes pas particulièrement attardés à Kuala Lumpur, sachant que nous allions sans doute y revenir. Après une tournée shopping à Midvalley, dans le plus grand mall du monde (pour ce que j'en sais), pour acheter un téléphone portable et un forfait local (très pratique !), nous prenons le bus pour Mersing, petit port de la côte est où nous prévoyons de rejoindre Romain et Laura pour partir ensemble à Pulau Tioman.
Mais Kuala Lumpur nous a aussi offerts des aspects plus attrayants et en tout cas intrigants : la nourriture d'abord, qui est un mélange de gastronomie indienne, chinoise et malaise, avec de délicieuses surprises, comme ces petits raviolis chinois fourrés à la soupe, les brochettes de poulet satay, ou encore les rotis, petites crêpes frites servies avec une sauce au curry, mais aussi des découvertes plus déroutantes (le butter chicken, du poulet frit avec en accompagnement... de la friture miam miam !), voire carrément écoeurantes, comme le durian, étrange fruit dont l'odeur rappelle le pourri ou le caca... et dont la chair est grasse comme du beurre, et qui semble très apprécié des Malaisiens ! Nous l'avons goûté avec Alan, un ami malaisien de Thibault, qui nous a assuré qu'un Français sur 10 appréciait ce fruit... (ce qui, pour être honnête, nous a paru beaucoup).
Nous avons eu la chance d'arriver à Kuala Lumpur le jour de l'Aïd, qui célèbre la fin du Ramadan, dans une ambiance particulièrement animée. Nous avons aussi eu droit à une séance de tir de feux d'artifices en pleine rue, tirés - selon notre serveur mais il est possible que nous n'ayons rien compris... - par un Chinois qui vient tous les 3 jours (???)
* Note pour les futurs voyageurs :
- Ne pas réserver d'hébergement à l'avance est tout à fait possible à KL, il y a dans Chinatown plein de petites guesthouses pas chères...
- Ne pas hésiter à négocier le prix des taxis (en cas d'échec, sortir du taxi plutôt que de payer trop cher est une bonne option pour garder un peu de dignité).
Nous ne nous sommes pas particulièrement attardés à Kuala Lumpur, sachant que nous allions sans doute y revenir. Après une tournée shopping à Midvalley, dans le plus grand mall du monde (pour ce que j'en sais), pour acheter un téléphone portable et un forfait local (très pratique !), nous prenons le bus pour Mersing, petit port de la côte est où nous prévoyons de rejoindre Romain et Laura pour partir ensemble à Pulau Tioman.
